En dix nouvelles, George Saunders persiste à être une voix singulière de la littérature américaine. Il a l’art de peindre cette Amérique mécanique, surpuissante et inhumaine, emmurée dans sa bêtise et son art de l’esbroufe, sa violence et ses humiliations sociales où seul l’amour est oxygène.
George Saunders est autant un maître qu’une belle découverte. Ci-après le lien vers une chronique de notre librairie Gwendoline pour le super blog littéraire Un dernier livre avant la fin du monde : lire.
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Dix décembre – George Saunders (traduction de Olivier Deparis) – L’Olivier – 22€